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“Que ton aliment soit ton médicament » Hippocrate
Force est de constater une uniformisation de l’alimentation dans les pays industrialisés, quelquesoit l’endroit où l’on se trouve. Or, il est indispensable de privilégier une nourriture locale, variée contenant l’ensemble des vitamines, oligo-éléments et minéraux afin de pouvoir absorber les macronutriments -protides, lipides, glucides- . Par ailleurs, l’industrialisation de l’agriculture et l’appauvrissement des sols ont également appauvri les qualités nutritionnelles de notre assiette ; sans compter l’utilisation massive d’engrais, de pesticides et d’herbicides de synthèse agissant comme perturbateurs endocriniens, et dont le lien avec certaines maladies dégénératives est fortement suspecté (Parkinson, Alzheimer).
L’agro-alimentaire privilégie les aliments raffinés : sucres, farines, huiles, céréales, privant là aussi le consommateur des apports en oligo-éléments, minéraux et vitamines. Les produits préparés « enrichis » en additifs (conservateurs, colorants, agents de sapidité) transforment la structure chimique des éléments vitaux. Les aliments en conserve sont surchauffés, surgelés ou irradiés (rayonnement gamma) pour une conservation plus longue, mais par conséquent dévitalisés.
Les scandales de l’industrie agroalimentaire sont aujourd’hui mis au jour : « la vache folle », les plats préparés à base de viande de cheval ou de chat, les huiles hydrogénées, le colorant E150d reconnu comme cancérigène présent dans un soda très connu, le vinaigre balsamique de grande consommation…et bien d’autres à venir.
Nous avons à prendre notre responsabilité dans cette course à la surproductivité et à la surconsommation. Nous avons appris à manger trop d’aliments de moindre qualité. En consommant ce que l’on veut quand on veut, l’industrie alimentaire n’a fait que répondre à nos attentes. Nous nous sommes déconnectés de la nature, du rythme des saisons (en consommant par exemple de la tomate à longueur d’année) et des habitudes saines de nos anciens (consommation des fruits, légumes de saison, mise en bocaux des produits de saison…). Le rythme effréné de nos vies nous fait répéter sans cesse : « Je n’ai pas le temps ». Mais, chacun peut maîtriser le temps et prendre le temps de prendre son temps. Ce n’est qu’une question de choix, de prise de décisions en adéquation avec notre nature profonde.
Ainsi, nous pouvons retrouver les bénéfices d’une bonne mastication (car le métabolisme des glucides commence dans la bouche !), d’une bonne digestion et d’une bonne assimilation si nous faisons le choix de notre santé. Nous pouvons cultiver en permaculture ou biodynamie notre potager exsangue de pesticides et autres engrais de synthèse. Nous pouvons réapprendre les bienfaits de la cueillette. Et au lieu d’engouffrer une nourriture « doudou », compensatrice (de notre manque de temps !) et vide de nutriments.
L’hydratation de qualité fait souvent défaut aussi : eaux en bouteille dévitalisées, trop minéralisées, soumises aux perturbateurs endocriniens de leurs contenants plastique (bisphénol A interdit depuis 2015 par l’ANSES et remplacé par le bisphénol B hors zone UE; scandale récent des eaux en bouteilles). Les habitudes sont davantage portées sur la consommation de boissons sucrées, d’alcools ou composées d’excitants venant surajouter à l’encrassement des humeurs ; sans compter le constat d’une hydratation insuffisante pour la plupart d’entre nous.
Le naturopathe joue ici un rôle « d’éveilleur de conscience ». En effet, même si les médias classiques commencent à lever le voile sur les différents scandales, manipulations des lobbies agroalimentaires*, et à diffuser les conseils de bon sens relatifs à l’alimentation, le naturopathe s’inscrit dans une démarche d’un accompagnement personnalisé le plus judicieux, en fonction de l’histoire de son consultant (hérédité acquise et innée), de son environnement et des informations qu’il collecte et analyse sur la bromatologie (science de l’alimentation).
Le naturopathe, au travers des conseils alimentaires apportés à son consultant l’invite à se renouer à la nature et à sa nature…
« En toute chose suit la nature » Hippocrate
Il recommande notamment la consommation d’aliments les moins transformés possibles, une hydratation de qualité, des aliments spécifiques et la façon de les consommer en fonction de carences avérées, et met en lumière les habitudes nocives pour son consultant au regard de sa constitution.
Il établit un compte-rendu détaillé en mentionnant les aliments à privilégier, ceux à éviter, sans préconiser de régime strict ou avec un nombre de calories à respecter ou des aliments à peser. L’objectif pour le naturopathe est de déterminer comment vous fonctionnez de manière globale, pour comprendre les dysrégulations de vos systèmes (digestif, hormonal, articulaire, uro-génital etc.) et de pouvoir les ajuster au mieux, avec ces préconisations alimentaires, un des 3 piliers de base de la naturopathie.
Tout processus de vie n’est possible que par la force vitale qui l’anime. Sinon, l’être humain ne serait réduit qu’à un tas d’os et de chair, sans instinct, ni conscience. L’énergie est à la base de toute densification de la matière.
Comment peut-on alors penser nous « nourrir » -dans le sens large du terme : combler notre être- d’œufs de poules élevées en batterie, ne connaissant pas les rayons du soleil, de viande issue d’animaux abattus dans des conditions déplorables, d’eau du robinet ayant reçu des traitements, chargée en xénobiotiques, antibiotiques et autres sources de pollution.
La peur et la colère de l’animal abattu sont des énergies ! Comment penser que cette énergie va nous « nourrir » favorablement ? J’émets un doute…,un gros !
Alors que nos anciens prenaient le temps de se réunir tous ensemble autour d’une table pour les repas, qu’ils bénissaient pour beaucoup d’entre eux, sacralisant ainsi le moment partagé et la nourriture ; notre société actuelle privilégie les snacks, sandwiches, hamburgers pris sur le pouce. Chaque membre de la famille n’a qu’à ouvrir le frigo -et souvent à des moments différents-: tout est prêt !
Il ne s’agit pas de revenir en arrière, où la femme était assignée à résidence dans sa cuisine. Seulement de favoriser le lien que la nourriture génère : le plaisir de préparer ensemble le repas, de le partager ; et si c’est possible de cultiver son jardin pour en récolter les fruits…et les légumes ! Chaque être vivant se donne à nous, car il est VIVANT, donc honorons le cadeau de Dame Nature.
Et le test du riz, initié par Emoto Masaru, qui reçoit un soin reiki* nous illustre bien l’interconnexion que nous avons entre être vivants, et l’importance de « conSACRER » notre temps à la nourriture que nous allons absorber.
Source : https://www.lescheminsdetraverses.ch/experience_du_riz/
6 juin 2024
à propos →
Nous mettrons en relief ensemble tes différents freins : peurs, blessures d’âme, traumatismes, charges mémorielles, ainsi que tes talents et motivations; afin de définir tes objectifs à atteindre, ainsi que les différents paliers à franchir, et surtout les moyens à mettre en oeuvre pour que tu puisses être à nouveau en symbiose avec ton âme.
je suis céline, ta guide pour ce voyage
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